Et ce goût est très récent. Ce n’est qu’à l’été 2017, à Madagascar, que je suis parti avec la volonté de faire des portraits. Pas vraiment des portraits malgré tout, plutôt des personnages dans leur environnement, mais c’est un premier pas. Auparavant, j’évitais complètement de photographier tout individu, recherchant au contraire l’absence de toute présence humaine.
Aller vers l’autre reste encore très difficile, par timidité, par respect, peur de déranger… Mais l’avenir est plein de possibilités et le plus beau voyage est celui qu’il nous reste à faire.